Nous sommes déjà le 15 octobre, et cela fait bientôt 2 semaines que je n'ai pas posté un seul message... et NON ! Le blog n'est pas à l'abandon, que tout le monde se rassure. Enfin, pour ceux qui s'inquiétaient... et ils ne sont pas trop nombreux, je crois...
Il y a deux semaines en effet, Monsieur, qui ne planifie rien à l'avance, est rentré en disant "J'ai posé deux semaines de vacances!" Hein? Oui, c'est soudain. Et c'est souvent comme ca.
Plan d'attaque :
- trouver une réservation : merci les "dernières minutes" sur internet. Bon, de toute façon, avec deux bonhommes, ce n’est pas le moment de tenter le trek au Kénia, donc, ce sera Center Parc - tout de suite, ca fait moins Aventure mais bon... on est parents ou on ne l'est pas.
- préparer les valises : ce sera fait en une journée avec mes parents pour m'aider à gérer les petits. Mon seul oubli, le porte bébé : pas grave, on se fera les bras pendant 5 jours.
Et là, vous vous dites que tout de même, depuis une semaine, nous sommes rentrés, et toujours pas un mot… Alors j’avoue tout : Monsieur ne sait pas pour le blog. Oui, honte à moi ! Non, pas honte du tout. Il ne sait pas, et alors ? En fait, je ne sais plus quelle blogueuse disait (tiens, il faut que je retrouve mais je n’ai pas le temps) : « Mon blog, c’est le seul endroit où je suis vraiment moi ». Et moi, c’est tout pareil. Il est tellement difficile de supporter le jugement d’autrui que je ne préfère pas que Monsieur, ou Papa ou Belle-Maman ou…, puisse lire et donner leur avis. Ce blog est comme il est. Il vient de naître et je ne sais pas s’il aura du succès ou s’il vivra longtemps. Je ne veux pas m’ajouter en plus la pression familiale et le jugement de mes proches, déjà bien assez présent sur mes choix d’allaitement, d’éducation, de ménage, de travail, etc… Assez !
Alors, Monsieur présent à la maison, je ne peux pas le pousser de l’ordi genre « j’ai un blog à tenir, moi ! » donc, je m’écrase et je profite doucement d’une matinée de farniente (oui, oui, il est 7h et tout le monde dort encore !) pour écrire ces quelques courtes explications.
La semaine prochaine, la vie reprend son court normal.
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