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mardi 16 juin 2009

Ahhh, il était suédois...






Comme je vous en parlais hier, vendredi dernier, j’ai testé pour vous (oui, pour vous) le Spa Mosaic du Hilton de l’Arc de Triomphe.


J’avais réservé un massage ayurvédique de 45 min. En théorie.

Pour commencer, j’ai été très bien accueillie, par un charmant jeune homme (qui avait une tête à s’appeler Cedric) qui avait bien noté que je venais avec une Smart Box. Je me suis tout de suite demandée si c’était bon signe ou mauvais signe…

J’ai patienté 3 min tout au plus avant de voir arriver un autre charmant jeune homme, version beaux bras bien musclés en tenue relax (débardeur et tong !) : « suivez moi ! »

Ah ?


Et tout d’un coup, j’ai réalisé que c’était ce jeune homme qui allait me masser. Parce que dans mon institut à moi, y’a que des filles. Et j’avais pas pensé que parfois, ce sont des hommes… ben, oui, je suis blonde.
Et là, la première chose à laquelle j’ai pensé, c’est « Mon dieu, j’ai pas bien épilé mes gambettes », juste avant « remondieu, mais il va voir toute ma vilaine cellulite ».
Ben, oui, on vient pour un massage mais on n’en reste pas moins femme…

Pas grave, dépassons tout cela. J’ai donc suivi Enrique (oui, appelons le Enrique : jeune, plutôt mignon, musclé, bronzé…). Notez qu’il est spontanément plus sympa de se faire masser par un type qui pourrait s’appeler Enrique, que Robert ou Alphonse. Non ?

La salle était plutôt petite mais très chaleureuse (même s’il n’y avait pas les petites bougies qui sentent bon), musique d’ambiance adaptée, ca respire le « zen ».

Comme d’habitude, tu t’allonges avec un minuscule string jetable hyper laid, sur la grande table confortable. Mais comment font ils pour avoir des serviettes si moelleuses…

L’institut utilise les produits Decléor et Carita. Le massage s’est fait avec le baume Aromessence Detox de Decléor. Je trouve que ca sent tellement bon. Rien que l’odeur, c’est du pur bonheur. Sur ce, Enrique m’a fait un massage de la pointe des pieds au cuir chevelu pendant presqu’une heure. Il a étiré ma colonne vertébrale, je pense que j’ai gagné 2 cm. Super zennifiant. Evidemment trop court. Le retour au monde réel est un peu difficile.

A la sortie, Cédric m’a confirmé que mon massage était « suédois ». Je cite : « Massage Suédois, Elimine le stress et les signes de fatigue, dénoue les tensions, 1h : 120€ ».

Alors, pour les parisiennes, je vous le conseille. C’était top ! J’en suis ressortie ravie !

mardi 10 mars 2009

Suppression de la tétine

Comme je vous l'ai dit, j'ai commencé la lecture de Le sommeil le rêve et l'enfant de Marie Thirion et Marie-Josèphe Challamel - après avoir lu L'allaitement de Marie Thirion.

Je ferai plus tard un commentaire plus complet du livre mais je voulais rapidement vous donner un extrait, qui m'a notamment poussé à acheter le livre :

"Au-delà de 3 mois, il faudrait savoir faire disparaître les sucettes.
Le risque est grand qu'elles soient utilisées chaque fois qu'on veut faire taire l'enfant, le forcer au silence, et c'est là un comportement éducatif extrêmement suspect... tellement banal qu'on oublie de l'analyser comme tel. Savez-vous qu'en espagnol sucette se dit "tais-toi", et qu'aux Etats-Unis on l'appelle "pacificateur". Ces noms ne disent-ils pas d'eux-même l'usage excessif qui peut en être fait?"

J'ai compris alors que je tombais dans cet excès. Dès que Petit bonhomme pleure un peu et chigne, plop, la tétine. Et j'ai réfléchis : ca n'est pas la solution.

Ensuite, il est écrit :
"La sucette pour dormir induit une dépendance de l'enfant envers ses parents, une condition d'endormissement dont ils sont les maîtres ou les garants. Chaque fois qu'en dormant l'enfant perdra sa sucette, il peut se réveiller et demander que l'un de ses parents se lève pour la lui redonner. C'est une raison très classique des appels multiples chaque nuit au-delà de quatre mois, raison à bien connaître pour savoir l'éviter."

Et effectivement, il arrive déjà que la nuit, je sois obligée de me lever pour remettre cette fichue tétine. Ou alors, je laisse pleurer. Mais ca n'est pas cohérent avec l'endormissement du soir.
Et je connais des parents qui se lèvent toutes les nuits depuis de nombreux mois et même des années juste pour remettre la tétine.

Enfin, l'auteur entre plus encore dans les détails en prenant comparaison avec l'endormissement adulte : quand on est habitué à certaines conditions (lumière ou noir total, coté de lit, chaleur, musique ou télé, silence, etc), il est difficile de s'en débarrasser. C'est notre aptitude d'adulte à supporter leur changement et leur manque qui nous fait passer au délà pour modifier nos conditions d'endormissement. L'enfant, le bébé, lui, ne peut exprimer sa frustration qu'en pleurant. Donc pleurer, c'est normal. Tout en restant dans la mesure du raisonnable.

Aussi, il est expliqué que la tétine peut être aisément supprimée jusqu'à 6 mois. Et sans trop de contrainte quoiqu'avec un peu plus de persévérance jusqu'à 12 mois. Au delà, c'est carrément le plan de bataille. Mais rien n'est impossible.

Et il est clairement indiqué que l'acceptation de ce changement peut être étonnamment rapide

Alors, Monsieur et moi, on a réfléchi. Pas trop longtemps. Et on a dit : banco!
A la sieste : 30 min de pleurs entrecoupé de plusieurs calins... et hop, endormi.
Le soir même : 2 min de pleurs et hop, endormi.
Le lendemain, même plus de pleurs et hop, endormi.

Aujourd'hui et après plusieurs jours sans aucun soucis, je peux le dire : la tétine, c'est fini !

Mais finalement, c'est peut être moi qui en souffre le plus, puisque j'ai encore le très vilain, vilain réflexe de me dire, quand je l'entends pleurer, même en journée :"Ah, au moins, avec la tétine, on avait le silence..."

Vilaine Maman Nashii. Pas bien.

Et vous, supprimer la tétine, ca vous dirait?

lundi 2 mars 2009

Dis, ca sent pas bon? Ca sent quoi?

Quand j'étais petite, j'habitais à la campagne. La vrai. Celle avec des vaches à droite de la maison et des moutons à gauche. Celle où on grimpait dans les arbres pour manger des mirabelles. Celle où on s'accroupissait dans le potager pour cueillir les framboises sur pieds. Celle où on écossait les haricots dans le garage. Celle où on plumait les poulets dans des bassines d'eau chaude. Bref, j'avais les pieds dans l'herbe tous les jours. Je savais à quoi ressemblaient des pieds de fraises ou des cerisiers.

Je trouvais ca formidable. C'est toujours le cas aujourd'hui.

Je pensais à ces "Parisiens", si mal notés par ici, qui ne savaient pas gauler des fruits ou nourrir des lapins.

Je me disais que quand j'aurais des enfants, jamais ils ne subiraient cette ignorance et ce manque de culture.

Comme j'avais tort.

Diable de vie, mes Bonshommes font en fait partie de ces petits proprets de Parigots pour qui chaque année, se réunissent veaux vaches cochons et autres affiliés au Parc de Expositions Porte de Versailles.

Oui, j'ai testé pour vous cet événement majeur de la culture des enfants (et des parents) parisiens - banlieusards et même un peu au delà : le Salon de l'Agriculture.

D'abord, j'ai laissé Petit Bonhomme à sa Nounou, parce qu'à 7 mois, tout éveillé et particulièrement intelligent qu'il soit, je ne suis pas certaine qu'il aurait gardé un grand souvenir de cette journée. Alors que moi, à me coltiner mes deux lardons, j'aurais fini sur le carreau.

Donc, un seul enfant pour un seul parent, ca suffit bien.

Grand Bonhomme était vraiment ravi d'y aller. Après 1 h de trajet et de nombreux embouteillages (autant vous prévenir, il faut quand même s'armer de patience), nous avons réussi à garer la voiture dans un parking officiel. Oui, la journée paraît déjà assez compliquée sans avoir besoin de se garer à perpet pour reprendre le métro ou le tram par la suite. Tant pis pour le prix.

Au moins, nous étions garés au pied des portes. Celles-ci à peine franchies : des vaches, des taureaux, des veaux, bref, la Ferme était là. Mon Bonhomme arborait un sourire ravi ! En plus, il n'y avait pas trop de visiteurs.

Nous avons passés presque 3 heures dans le Hall 1 : vaches, cochons, brebis. Nous avons vu toutes sortes d'animaux, à poils longs ou courts, à cornes ou pas, en couleur ou non...

Le premier grand moment fut quand un éleveur a fait entrer des enfants dans un enclos de chèvres pour les caresser et leur donner à manger : génial ! J'ai même entendu une réflexion d'une dame qui pensait que c'était le fils de l'éleveur : "Ah, il a pas peur celui là ! On voit qu'il est élevé au milieu des animaux !" Euh, mon fiston? là? Ah non, pas d'animaux chez nous...

Le second grand moment fut l'éclosion de deux oeufs en direct. C'était super mignon. Et mon loulou a vraiment bien aimé.

La suite de la visite était au Hall 4 avec les chevaux, les ânes et la basse cour. Mais il était 13h et il commençait à y avoir une foule vraiment très dense. Une chaleur oppressante. La fatigue en plus. Mais tellement content de ce qu'on voyait, Grand Bonhomme n'a même pas pensé à râler. Trop fort.

Tout de même après 4h de visite, il était exténué. Moi qui le portais depuis tout ce temps (à quelques rares minutes d'exception), j'avais le dos et les bras en bouillie. Est ce que j'ai regretté ma poussette ? Pas du tout ! Autant oublier tout de suite. Il est quasiment impossible de slalomer dans les allées avec une 4 roues. Et je n'imagine pas de bébé dans la chaleur et au niveau des jambes du public : vraiment inconfortable. Les parents qui essaient, ralouillent un peu, se font engueuler parce qu'ils prennent de la place et gênent tout le monde, et sont fortement ralentis.

En résumé : une très bonne idée pour passer une bonne journée. Par contre, il faut pouvoir aligner le prix : 12€ l'entrée adulte / Enfants gratuits jusqu'à 6 ans + parking : 15€ environ suivant le temps qu'on y passe.

Mon grand regret : avec un petit comme ca, il est impossible d'envisager de faire le Hall 7, celui de la bonne bouffe, en long et en large pour s'en même plein la panse et les papilles... Il faudrait presque que j'y retourne juste pour ca !

mercredi 11 février 2009

Wall-e et compagnie

Ce week end, Monsieur est revenu avec une série de DVD dont Wall-e.

Faites la connaissance de WALL-E (prononcez "Walli") : WALL-E est le dernier être sur Terre et s'avère être un... petit robot ! 700 ans plus tôt, l'humanité a déserté notre planète laissant à cette incroyable petite machine le soin de nettoyer la Terre. Mais au bout de ces longues années, WALL-E a développé un petit défaut technique : une forte personnalité. Extrêmement curieux, très indiscret, il est surtout un peu trop seul...
Cependant, sa vie s'apprête à être bouleversée avec l'arrivée d'une petite "robote", bien carénée et prénommée EVE. Tombant instantanément et éperdument amoureux d'elle, WALL-E va tout mettre en oeuvre pour la séduire. Et lorsqu'EVE est rappelée dans l'espace pour y terminer sa mission, WALL-E n'hésite pas un seul instant : il se lance à sa poursuite... Hors de question pour lui de laisser passer le seul amour de sa vie... Pour être à ses côtés, il est prêt à aller au bout de l'univers et vivre la plus fantastique des aventures!

Nous avons proposé ce film à Grand Bonhomme. Il ne veut jamais regarder autre chose que Cars car il a peur... d'avoir peur. L'est pas très courageux, mon Grand Bonhomme.


Alors, on a regardé çà en famille et lui a expliqué ce qu'il se passait. En fait, c'est un film un peu compliqué pour les petits. D'abord parce qu'il n'y a pas de paroles pendant la première partie du film. Ensuite parce que c'est plein (plein plein) de sentiments, bon ou mauvais, de tendresse, de mélancolie, d'amour... bref, des trucs qui ne parlent pas de trop aux moins de 4 ans.

De mon coté, j'ai trouvé ca super tristoune. Il ne faut pas trop regarder ca quand on a un peu mal au coeur parce que sinon, vous pourriez bien finir avec la larme à l'oeil.
Comment ca, je suis un grande sensible ?? Peut être.

Et vous, Wall-e, vous connaissez?

J'en profite pour vous faire une critique ciné rapide des films vus par Monsieur cette semaine :
Envoyés très spéciaux : bien mais sans plus.
King Guillaume : nul. Il est même parti avant la fin, c'est pour dire.


samedi 1 novembre 2008

La Grande Galerie de l'Evolution - Paris

Aujourd'hui, j'ai testé pour vous : la Grande Galerie de l'Evolution au Museum d'Histoire Naturelle de Paris.

La première idée, c'était de trouver une occupation pour mon Grand Bonhomme et moi-même en ce dernier vendredi de liberté. J'ai trouvé cette idée sur le net et me suis dit "à tenter".

Il faut savoir cependant que le Museum propose également, en ce moment, une expo temporaire sur les cétacés. Et en plus, ce sont les vacances scolaires (grosse maligne, va !). Du coup, j'ai quand même du faire la queue une demi heure mais Grand Bonhomme était plutôt discipliné.

Une fois à l'intérieur, il a tout de suite accroché sur les animaux empaillés mais les squelettes, par contre, ca ne lui parlait pas trop. En fait, on a surtout fait (plusieurs fois) le tour des animaux de la savane présenté au 1er étage parce que "il est où le bébé éléphant?" et "qu'est que c'est, ça, là?" ou "on peut toucher?".

Je vous rassure, nous avons fait aussi le reste du musée mais je me suis rendue compte qu'il faut quand même être plus grand pour comprendre ce qui est présenté, surtout pour le génome ou la différence entre les espèces.

Bref, nous sommes repartis après 1h 30 de visite, Grand Bonhomme commençait un peu à fatiguer.

Bilan : c'était une bonne matinée mais à ce prix là (3 euros le stationnement, 8 euros le musée), je pense que c'est à réserver à des plus grands.

Maintenant, il faut que j'essaie la ménagerie ou le potager... je vous raconterai !